My Demons - Histoire d'Ariella Miller

**Steel** Mer 27 Jan - 23:01

Chapitre 1: Ma jeunesse avant le drame.

Je suis née au Canada, un 15 avril 2007, plus précisément dans la magnifique ville de Québec avant qu'elle ne soit ravagé par l'Ultimate. Ma mère était une infirmière, une excellente infirmière avec une mutation qui lui permettait de soigner presque toutes blessures. Malgré qu'elle soit une mutante, Claire avait toujours été bien accepté par la communauté et lors de son travaille à l’hôpital. Bien sur, la réputation de sa famille d'être extraordinaire l'avait beaucoup aidé à se forger une bonne réputation et à la conserver lorsque le monde commença à s’écrouler. Ces miracles, comme ils l'appelaient, étaient plus qu’apprécié même si ils n'étaient utilisés qu'en cas d’extrême urgence puisque à chaque fois ma mère perdait un peu de sa propre vie. Malgré ce danger, elle aimait aider les autres et sauver des vies. Comme son père, mon propre grand-père, Joseph Dubois qui fut pendant longtemps un pompier volontaire et un policier mutant efficace et respecté.

Mon père, lui, est née en Ontario d'une famille anglophone plutôt aisé et bien vite il monta sa propre entreprise de produit pharmaceutique. Bien sur, son entreprise le fit voyager au travers du Canada et c'est lors d'une réunion à Québec qu'il croisa le chemin de ma mère. Ce fut un véritable coup de foudre entre Alex et Claire et ce même si mon paternel n'était qu'un simple humain alors que ma mère était mutante. Alex était une homme très tolérant comparé au reste de sa famille et ce même si il n'avais que vingt huit ans à l'époque. À leurs trente ans, mes deux parents se sont finalement marié, au grand damne de la famille du coter du mon père, et neuf moi plus tard j'étais née. Malgré un reniement d'une partie de la famille à notre égard, j'eu une enfance paisible, aisé d'enfant gâte par ses parents mais surtout par son grand-père. Mon grand-père me donnait de l'amour pour deux puisque ça femme n'avait put vivre assez longtemps pour pouvoir voire sa petite fille.

Avec mon père qui voyageait beaucoup pour l'entreprise, ma mère avait prit la décision de rester à Québec avec moi au coter de son père. Ce n'est pas que mes parents commençaient à mal s'entendre, non au contraire, c'est juste qu'avec tout les déplacements de mon père ils avaient décidé d'avoir une maison fixe pour que je puisse bien me développer sans le stresse de plusieurs voyages par mois. Malgré tout les déplacements de mon père, l'alternation entre la maison à Québec et son appartement en Ontario il fut le plus présents possible dans ma vie et je ne me suis jamais plains de ces absences. Vous savez, jusqu'à l'âge de huit ans je ne me préoccupais pas du tout de ce qui se passait autour de moi ou dans le monde. J'étais beaucoup trop jeune, naïve, et émerveillé par le monde pour en voire sa méchanceté. Ma mutation ne s'étais pas encore manifesté et je vivais carrément la vie d'une gamine aisé et gâte. Une belle vie, une très belle vie... pendant ce temps, j'allais à l'école, j'avais de très bonne notes et mon grand père avait commencé à me montrer l'archerie durant l'été lorsque nous étions en famille à son chalets dans le nord du Québec. Très vite, j'ai pris goût à ce sport et de fille en aiguille je me suis mis à faire quelques compétions pour enfant. J'aurais aimé que cette vie dure pour toujours, aujourd'hui ce ne sont que de vague souvenirs qui refont surface une fois de temps en temps. En vieillissant, je regrette de ne pas avoir put faire quelque chose, j'aimerais tant que tout redeviennent comme avant. Mais.. c'est impossible... Cet Ultimate m'a presque tout prit... ma vie.. ma famille... mes rêves......

**Steel** Mar 27 Déc - 4:13

Chapitre 2 : Le drame partie I

11h30, centre ville de Québec, 12 mai 2015.

Vous savez, quand nous somme jeune nous sommes si insouciants et si naïf. Aujourd'hui, la journée avait très bien commencé pour moi. Il s’agissait d'une journée qui me paraissait plutôt banale et habituelle avec mes deux parents à mes coter. J'aurais tant aimé que ce soit le cas.... j'aurais tant aimé pouvoir garder cette parcelle d'innocence. Mon père était revenue de l'un de ses nombreux voyages et ma mère était en journée de congé. Lors de ces moments ou nous étions tous réunis, nous en profitions pour passer la journée en famille. Comme tout famille le ferait en fait. Une journée tranquille avec son père et sa mère à faire la grasse mâtiné avant d'aller se promener et magasiner au centre ville était littéralement le paradis pour l'enfant que j'étais. Petite, j'adorais ce genre de sortie avec mes parents. Nous passion un bon moment ensemble et générallement Claire et Alex en profitais toujours pour me gâter un peu. Eux, ils oubliaient pendant un court instant les enjeux de la société et tout ce qui les tracassaient alors que moi je m'amusais heureuse et insouciante. À l'époque, j''étais beaucoup trop jeune pour être consciente de l'Ultimate, du problème de mutants et de ce qui se passait dans le monde. Je vivais dans mon petit monde avec mes parents qui malgré leurs craintes continuaient d'agir normalement avec moi. Si j'aurais été plus vielle, si j'aurais su, je serais resté à la maison à écouter un film avec eu au lieux de les suivre dans un changement de plan spontané. Si seulement j'aurais su.... J'aurais peut-être put nous empêcher d'être au mauvais endroit au mauvais moment. Nous venions tout juste de sortir de la zone des restaurants du centre commerciale lorsqu'IL frappa. Je regrette tant d'avoir eu faim plus tôt que d'habitude... J'aurais du demander à aller dans le magasin de jouet lorsque nous sommes passer devant la vitrine... mais non... je ne pouvais pas savoir... J'étais si jeune... si insouciante... Mais cela aurait peut-être fait une différence... mes choix et mes envies auraient put faire une différence....

Je me souviens que j'étais entre mes deux parents, tenant une main de chaque, alors que je m'amusais à sautiller plus en avant ou légèrement en arrière. J'avais un sourire de coller au lèvres alors que mes parents s'amusaient tout autant que moi tout en parlant de sujet d’adulte. La seule chose dont je me souviens à la suite de ce moment c'est une violente secousse suivit d'un souffle chaud séparant ma mère et moi de mon père. Je ne sais pas trop ce qui est arrivé après ce moment. J'avais quelque flash rapide de débris qui me tombaient dessus, je voyais encore mon père s’écrouler, j’entendais encore mon souffle rapide avec les battements sourd de mon cœur. Je me rappelais à peine la sensation du premier déclenchement de mon pouvoir alors que ce qui me revenais le plus en y repensent c'est la noirceur de l’inconscience. Ou plutôt le black out totale après les flash incohérent des débris qui me tombaient dessus. Je ne savais pas combien de temps j'étais resté inconsciente, une minute? Dix minutes? Une heure? Des heures? Je me souvenais juste de.... de m'être réveillé en sursaut le corps en entier traversé par des douleurs atroces alors que la fumé et la poussière s'attaquaient à mes poumons. Je respirais avec dificulté, toussant avec dificulté ce qui me tirais des gémissements de douleurs, alors que ma vision peinait à s'adapter à cette soudaine obscurité. Mon premier réflexe fut d'essayer de bouger et d'appeler désespérément mon père et ma mère à l'aide comme le ferrait toute gamine. Mais... mais... mais je n'avais reçus aucune réponse alors que le moindre mouvement ne faisait que m'arracher de déchirant cries de douleurs. Je sentais que quelque chose me traversait le bras gauche et la cuisse droite mais ces deux blessures étaient clairement enterré par ma douleur au flanc gauche. La moindre petite respiration me faisait terriblement mal alors qu'au moindre mouvement je sentais le truc, plus tard j’apprendrais qu'il s’agissait d'une poutre de métal, me déchirait un peu plus la chaire.

J'étais en panique, complètement paniqué, alors que je hurlait de terreur, de douleurs et d'appelle à l'aide au travers de mes toussotements. Ou sont mes parents? Ou suis-je? Que devais-je faire? Vous savez... pour une gamine de huit ans..... ce rendre compte qu'elle vas peut-être mourir et un moment des plus.... atroce et douloureux pour l'esprit à surmonter. Je pleurais à chaude larme, historique, alors que seul mon bras droit pouvait bouger pour essayer de faire quelque chose ou trouver quelque chose pour me rassurer et m'aider. Que pouvais-je faire sous une tonne de débris? Que pouvais-je faire dans cette noirceur dont seule quelque flash d'un câble électrique brisé m'apportait de la lumière? C'est à ce moment que je l'avais vue, je veux dire, mon père. Au travers de tout ce chaos... je l'avais vue... plus loin.... je l'avais vue... ou du moins... le peux qui restait de lui sous une section entière d'un mur. Mes cries c'étaient carrément étrangler dans ma gorge, comme si on venait de me couper la voix, alors que mon regard ne le quittait plus. Il... Il.....Il.... Papa..... papa...... non..... non... non.... Cette image me hante toujours.... Je le regardais, complètement muette, alors que mon corps tremblais sous la douleur et les sanglots silencieux. Jusqu'à temps que je sente une main se poser contre mon épaule.... jusqu'à temps que je sente la douleur de mes blessures s'estomper lentement... Jusqu'à temps que j’entende la voix de ma mère si rassurante:

- Ari... ma puce.... Maman veille sur toi. Regarde de moi, tout vas bien aller. Les secours sont en route, regarde de moi ma belle et concentre toi sur moi et ma voix. Je suis là....

Il ne fallait pas m'en dire plus... n'y même de me dire de la regarder.... j'étais si heureuse d'entendre la voix de ma mère. Si heureuse de la voir en vie près de moi.... Je pleurais toujours mais la présence de ma mère me rassurait et tout allait bien aller maintenant. J'avais finis par poser mon regard dans celui de ma mère qui brillait de cette lueur bleuté caractéristique de l'utilisation de sa mutation. Elle était près de moi, probablement étendue sous des débris elle aussi, alors que sa main ensanglanté était posé sur mon épaule. J'avais eu un faible sourire, un sourire rassuré de la voire alors que Claire me souriait avec tendresse, réconfort et confiance que nous allons nous en sortir. J'avais faiblement réussit à bouger mon bras droit puis ma main pour essayer de prendre celle de ma mère mais je n'arrivais pas à lever mon bras assez haut pour poser ma main sur celle de ma mère qui était posé sur mon épaule. Claire me connait, elle savais ce que je cherchais à faire, alors malgré sa propre douleur elle s'était forcé à s'avancer un peu pour pouvoir venir prendre ma main et la serrer du plus fort qu'elle le pouvait. Pendent combien de temps sommes nous rester ainsi? Je n'en avais absolument aucune idée et franchement la seule chose qui m'importais c’était d'entendre la voix si rassurante de ma mère. Mais... mais.... je le voyais bien qu'elle commençais à ne pas se sentir bien... Elle n'avait jamais utilisé aussi longtemps sont don, ce n'étais qu"en dernier recours..... Elle donnait de sa propre vie pour soigner les autres... La voix de ma mère faiblissait doucement tout comme la force de sa main qui tenait la mienne. Elle me murmurais toujours des mots doux, elle me disait de ne pas m’inquiéter mais je le savais.. Je sentais ce qui allait arriver.... ma mère faiblissait graduellement tout comme sa force et la lueurs bleuté de son regard. Non... non.... je voudrais tant pouvoir faire quelque chose... Je voudrais tant quel pense à elle aussi... Maman... Je ne voulais pas la perdre aussi.

Mon corps recommençait à être secoué par de long sanglots à nouveau, les larmes roulaient de plus en plus le long de mes joues alors que je voyais littéralement la vie quitter lentement le corps de ma mère. Elle essayait de rester calme et posé, de ne pas montrer sa peur face à ce qui allait arriver mais... cette peur brillait dans sont regard aussi petite soit-elle..... Je la voyais au travers de l'amour de Claire envers moi et de sa déterminations à me sauver la vie à tout prix. La lueur de vie faiblissait de plus en plus vite alors que ma mère avait rassemblé toute ses dernières force pour me dire d'une voix parfaitement calme:

- Maman est la.... Tout vas bien aller ma puce........ tout vas bien aller............ Je t'aime.....................

J'avais entendue ma mère pousser sont dernier souffle alors que je sentais sa main devenir entre molle entre mes doigts crispé. J'avais ouvert la bouche pour l’appeler.. pour lui dire je t'aime.. mais seules mes lèvres bougeaient... aucun sont ne sortait de ma bouche.... J’assistais ainsi, muette et désemparé, au départ de ma mère vers un monde peut-être meilleur. Un lourd silence s'était rapidement installé, je pleurais sans aucun bruit alors que je tenais toujours fermement la main sans vie de Claire jusqu'à ce qu'elle devienne glacé....

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